Le 15 janvier 2007, nous avons assisté à une journée d'étude sur la thématique
"Science(s) et arts, une synergie pour la culture à l'hôpital".
Cette rencontre était organisée par l'association APACH à l'hôpital de Chagny.
Le matin, deux intervenants fort intéressants :
- Le premier : Jean-Pierre Peter, directeur de recherche à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales de Paris a abordé "l'hôpital dans son histoire et sa culture : de l'hospitalité médiévale aux machines à guérir".
- La seconde : Marie-Christine Pouchelle, directrice de recherche à l'Ecole des Hautes-Etudes en Sciences Sociales de Paris nous a fait un petit parcours sur "l'Ethnologie en milieu hospitalier"
Deux personnes qui reviendront, j'espère, débattre sur ce sujet. Le temps disponible étant trop restreint.
L'après-midi Jessica Vaturi présentait son travail de plasticienne sur le thème de "la science, le corps, la santé, l'imagerie : des thèmes pour le travail d'un artiste". En tant que peintre, je préfère ne pas commenter.
rencontres Culture à l'hôpital
Modérateur : Flo
rencontres Culture à l'hôpital

"La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe." J. Prévert
peintures du Flo Aux Arts! etc.
J'attends un compte-rendu de François Lotteau. Si c'est pas trop long, je mettrais tout sinon, je f'rais un résumé.

"La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe." J. Prévert
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- Franck
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en ce qui concerne le matin, c'était passionnant et bien trop court... le titre de chaque intervention est un peu court pour se faire une idée, mais un résumé par nos soins serait sans doute très réducteur et déformant, d'autant qu'on n'a pas pris de notes...
Pour l'après-midi, hormis les soucis techniques assez marrants (ah, il vous manque un tout petit adaptateur et c'est la merde !), je ne me prononcerai guère plus que Florent, encore que je peux, je ne suis pas peintre : donc, j'ai trouvé ça très conceptuel et très ennuyeux : c'était creux/vide, le discours essayait de nous faire suivre la démarche absconse... et les images & vidéos qu'on a finalement pu voir, sans grande excitation il faut l'avouer.
dommage par contre que les problèmes techniques aient empiété sur le débat prévu après.
Pour l'après-midi, hormis les soucis techniques assez marrants (ah, il vous manque un tout petit adaptateur et c'est la merde !), je ne me prononcerai guère plus que Florent, encore que je peux, je ne suis pas peintre : donc, j'ai trouvé ça très conceptuel et très ennuyeux : c'était creux/vide, le discours essayait de nous faire suivre la démarche absconse... et les images & vidéos qu'on a finalement pu voir, sans grande excitation il faut l'avouer.
dommage par contre que les problèmes techniques aient empiété sur le débat prévu après.
mardi 03 juillet, un groupe d'étudiant(es) infirmer(ères) a participé à un stage culture à l'hôpital à Chagny. François Lotteau a présenté les nombreuses actions depuis 2001, et il y en a beaucoup dans tous les secteurs de l'art (peinture, sculpture, spectacle, cinéma...). Cédric Touzé et Renaud Contet étaient présents.
Les étudiants ont pausé beaucoup de questions sur les rapports entre artistes et patients, sur la façon d'aborder un projet de culture à l'hôpital.
Certains points essentiels ont été relevés : L'importance pour les artistes d'avoir carte blanche pendant la durée de leur projet (dans le cadre d'un projet porté par l'artiste dès le départ). L'importance d'une triangulaire
artiste / personnel (médiateur accompagnant l'artiste) / patient. L'importance du temps nécessaire dans les rencontres, l'adaptation au lieu (hôpital) et son mode de fonctionnement. L'intérêt d'un regard extérieur à la fois pour les personnes hospitalisées (regard non médical), et pour le personnel (regard non familier sur le quotidien)...
Bref, un petit résumé de cette matinée pour dire et redire tout l'intérêt de ces actions "militantes" en faveur d'un monde plus doux, plus humain...
Les étudiants ont pausé beaucoup de questions sur les rapports entre artistes et patients, sur la façon d'aborder un projet de culture à l'hôpital.
Certains points essentiels ont été relevés : L'importance pour les artistes d'avoir carte blanche pendant la durée de leur projet (dans le cadre d'un projet porté par l'artiste dès le départ). L'importance d'une triangulaire
artiste / personnel (médiateur accompagnant l'artiste) / patient. L'importance du temps nécessaire dans les rencontres, l'adaptation au lieu (hôpital) et son mode de fonctionnement. L'intérêt d'un regard extérieur à la fois pour les personnes hospitalisées (regard non médical), et pour le personnel (regard non familier sur le quotidien)...
Bref, un petit résumé de cette matinée pour dire et redire tout l'intérêt de ces actions "militantes" en faveur d'un monde plus doux, plus humain...
Dernière modification par Drik le 05 juil. 2007 14:28, modifié 2 fois.
C'est quand il n'y a pas grand monde qu'il y a grand-chose

"La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe." J. Prévert
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