Nü Köza et room38 à Dijon
Modérateur : Flo
Re: Nü Köza à Dijon
Williams Shaw
Artiste autodidacte, peint et expose depuis 1986.
L'œuvre picturale de cet artiste originaire de Côte d'Ivoire, marie avec bonheur le symbolisme africain et l'exubérance colorée de la peinture abstraite la plus sauvage des années 50-60.
Puzzles de vie, surfaces chromatiques, sur lesquelles s'inscrivent des figures-signes parfois magiciennes, pas plus naïves que primitives.
Cette figuration simple, aux larges contours noirs doit autant aux codes des représentations africaines qu'aux graffitis "primitifs et urbains" d'un Basquiat, qu'à la BD revue par la figuration libre. L'espace où s'agitent ces joyeux "idéogrammes" est un espace moderniste qui n'a pas honte du décoratif et des couleurs gourmandes.
KB
exposition du 18 février au 13 mars
vernissage le vendredi 18 février à 19h
Galerie Nü Köza
18, rue Charlie Chaplin 21000 Dijon
du mardi au dimanche, de 14h à 19h
"La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe." J. Prévert
peintures du Flo Aux Arts! etc.
Re: Nü Köza à Dijon
quelques photos du vernissage :
"La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe." J. Prévert
peintures du Flo Aux Arts! etc.
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Re: Nü Köza à Dijon
Je vais passer la voir cette expo, je trouve ça super sympa... Et si j'avais que su que vous y alliez, je serais venue vous rencontrer en chair et en os !!
Re: Nü Köza à Dijon
je comptais te le dire et puis j'ai zappé
Dans la même journée, on est allé voir l'expo de l'hôtel de Vogüé (de belles choses, un beau lieu mais le site est très dur vis à vis des œuvres : mur vert flashy), un petit tour à l'espace Bolena, une visite aux peintures de Christiane Bruley (resto sympatico), un regard aux dessins de Mr Poisson (librairie Privat), une promenade avec les photographes de nk2 et le petit verre en compagnie des toiles colorées de Shaw.
Un après-midi culturel dijonnais.
Dans la même journée, on est allé voir l'expo de l'hôtel de Vogüé (de belles choses, un beau lieu mais le site est très dur vis à vis des œuvres : mur vert flashy), un petit tour à l'espace Bolena, une visite aux peintures de Christiane Bruley (resto sympatico), un regard aux dessins de Mr Poisson (librairie Privat), une promenade avec les photographes de nk2 et le petit verre en compagnie des toiles colorées de Shaw.
Un après-midi culturel dijonnais.
"La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe." J. Prévert
peintures du Flo Aux Arts! etc.
Re: Nü Köza à Dijon
"La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe." J. Prévert
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Re: Nü Köza à Dijon
"La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe." J. Prévert
peintures du Flo Aux Arts! etc.
Re: Nü Köza à Dijon
"nous sommes tous des corps étrangers"
Nicolas Potier (photo), Paule Lanternier (photo), Nathalie Reba (dessin),Okiko (dessin), Fabien Lédé (dessin), Api (installation), Jean jacques Mazoué (peinture), Maxime Grossier (photo), Jeremy Page (sculpture) Christophe Mandron (photo)
exposition du 14 avril au 5 mai
vernissage le vendredi 15 avril, 18h
Société atomisée, zapping effréné, économique rentabilité.
L'autre comme un danger, la peur comme une épée de Damoclès.
Plus le temps de penser, plus le temps de panser.
Les choses n'ont plus de prix, mais un coût... et ça fait mâle !
Alors, NOUS (somme des JE singuliers) prenons la pause pour (re)créer du collectif.
...Et ce temps (luxe ô combien précieux par les temps qui courent) n'est plus notre ennemi, mais bel et bien l'allié qui nous faisait défaut.
Et nous (atomes énucléés par l'époque) retrouvons une part de notre humanité en construisant des passerelles avec "l'autre", notre semblable si différent.
Ces gens et ces genres qui, jusqu'alors, s'ignoraient, se méprisaient, se regardaient de loin, voire se haïssaient (souvent par ignorance) font soudain un pas les unEs vers les autres.
Et de ces rencontres naissent des envies, des paroles et des actes.
Et quand l'art s'en mêle et que les arts s'emmêlent, il y a de fortes chances pour que la chose devienne excitante...
Arts plastiques et visuels, littérature, musique, cinéma, slam... autant de modes d'expression qui rendent au théâtre du monde cette plus-value humaine que l'économique lui a abusivement confisqué.
Il NOUS est alors apparu avec l'évidence d'un soleil d"avril (si apprécié tant il était attendu) que mettre un pont entre Villon et Genet, ces auteurs si crus, était une bonne idée. Ces "radicaux libres" (parce que la sincérité semble être au-dessus de tout dans leur oeuvre) se retrouvent donc réunis, par delà les siècles et les genres, dans une manifestation dont le titre les aurait vraisemblablement contentés : "Nous sommes tous des corps étrangers..."
L'énergie d'un bras, les muscles oculaires contre la fission de l'atome, contre l'énergie nucléaire ou contre certains votes nauséeux.
Le peintre, depuis si longtemps, nous le dit, donnant des formes qui racontent, lui, faiseur d'icônes. Des formes contre l'abstraction généralisée, la désincarnation facile : contemporains, nous le sommes ici, au Petit-Citeaux. Humains anatomiquement et biologiquement humains dans les différences mêmes qui nous font humains, mieux que dans le monde uniforme où on ne fonctionne plus que par codes et par discours - très lisses et sans silences.
"Commençons le tableau" se dit le peintre.
"Puisque chaque œuvre forme le tout et que l'artiste, se disent les artistes (se disent-ils, tous réunis, lorsqu'ils savent encore former un collectif ouvert), l'artiste, c'est nous !"
-----------------------------------------------------------------------
Jeudi 14 Avril à 20h30 au cinéma l'Eldorado.
Projection "Le vieil enfant" sur les traces de J.Genet, un film de Philipe Dodet et Jean-Pierre Renault , produit par la CECAB.
Vendredi 15 Avril à partir de 18h, Veillée urbaine à la Galerie Nü Köza.
- Cédric Longet (texte)
- Mise en volume-lecture unique : JP Renault et Natacha Mendès (entretien Genet pour Play Boy)
- vernissage
- performance Mick -JLB
- lectures à la table Jérome Lequime, Michel Potherat, JLB, C.Longet, Frank Bailliet….
- Performance Synapse (peinture en musique)
Mardi 19 Avril à 19h30 à la Galerie Nü Köza.
Projection du film "Villon Jazze" produit par Label Epique et réalisé par Frank Halimi et Jean Pierre Brouat.
Soirée "Villon Klam" encadrée par le collectif dijonnais de poésie et spoken words "Casse La Rime".
Pot et échange autour de tout cela...
Nicolas Potier (photo), Paule Lanternier (photo), Nathalie Reba (dessin),Okiko (dessin), Fabien Lédé (dessin), Api (installation), Jean jacques Mazoué (peinture), Maxime Grossier (photo), Jeremy Page (sculpture) Christophe Mandron (photo)
exposition du 14 avril au 5 mai
vernissage le vendredi 15 avril, 18h
Société atomisée, zapping effréné, économique rentabilité.
L'autre comme un danger, la peur comme une épée de Damoclès.
Plus le temps de penser, plus le temps de panser.
Les choses n'ont plus de prix, mais un coût... et ça fait mâle !
Alors, NOUS (somme des JE singuliers) prenons la pause pour (re)créer du collectif.
...Et ce temps (luxe ô combien précieux par les temps qui courent) n'est plus notre ennemi, mais bel et bien l'allié qui nous faisait défaut.
Et nous (atomes énucléés par l'époque) retrouvons une part de notre humanité en construisant des passerelles avec "l'autre", notre semblable si différent.
Ces gens et ces genres qui, jusqu'alors, s'ignoraient, se méprisaient, se regardaient de loin, voire se haïssaient (souvent par ignorance) font soudain un pas les unEs vers les autres.
Et de ces rencontres naissent des envies, des paroles et des actes.
Et quand l'art s'en mêle et que les arts s'emmêlent, il y a de fortes chances pour que la chose devienne excitante...
Arts plastiques et visuels, littérature, musique, cinéma, slam... autant de modes d'expression qui rendent au théâtre du monde cette plus-value humaine que l'économique lui a abusivement confisqué.
Il NOUS est alors apparu avec l'évidence d'un soleil d"avril (si apprécié tant il était attendu) que mettre un pont entre Villon et Genet, ces auteurs si crus, était une bonne idée. Ces "radicaux libres" (parce que la sincérité semble être au-dessus de tout dans leur oeuvre) se retrouvent donc réunis, par delà les siècles et les genres, dans une manifestation dont le titre les aurait vraisemblablement contentés : "Nous sommes tous des corps étrangers..."
L'énergie d'un bras, les muscles oculaires contre la fission de l'atome, contre l'énergie nucléaire ou contre certains votes nauséeux.
Le peintre, depuis si longtemps, nous le dit, donnant des formes qui racontent, lui, faiseur d'icônes. Des formes contre l'abstraction généralisée, la désincarnation facile : contemporains, nous le sommes ici, au Petit-Citeaux. Humains anatomiquement et biologiquement humains dans les différences mêmes qui nous font humains, mieux que dans le monde uniforme où on ne fonctionne plus que par codes et par discours - très lisses et sans silences.
"Commençons le tableau" se dit le peintre.
"Puisque chaque œuvre forme le tout et que l'artiste, se disent les artistes (se disent-ils, tous réunis, lorsqu'ils savent encore former un collectif ouvert), l'artiste, c'est nous !"
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Jeudi 14 Avril à 20h30 au cinéma l'Eldorado.
Projection "Le vieil enfant" sur les traces de J.Genet, un film de Philipe Dodet et Jean-Pierre Renault , produit par la CECAB.
Vendredi 15 Avril à partir de 18h, Veillée urbaine à la Galerie Nü Köza.
- Cédric Longet (texte)
- Mise en volume-lecture unique : JP Renault et Natacha Mendès (entretien Genet pour Play Boy)
- vernissage
- performance Mick -JLB
- lectures à la table Jérome Lequime, Michel Potherat, JLB, C.Longet, Frank Bailliet….
- Performance Synapse (peinture en musique)
Mardi 19 Avril à 19h30 à la Galerie Nü Köza.
Projection du film "Villon Jazze" produit par Label Epique et réalisé par Frank Halimi et Jean Pierre Brouat.
Soirée "Villon Klam" encadrée par le collectif dijonnais de poésie et spoken words "Casse La Rime".
Pot et échange autour de tout cela...
"La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe." J. Prévert
peintures du Flo Aux Arts! etc.
Re: Nü Köza à Dijon
La galerie Nü Köza a le plaisir de vous inviter à l'exposition de l'artiste
PATRICK GONZALÈS
exposition du 6 au 29 mai
D'abord peintre, Patrick Gonzalès se met à la photographie en 1998, technique par laquelle il explore deux thèmes principaux, le rêve et l'enfance, au sein d'un univers teinté de surréalisme.
L'onirisme est le point de départ du travail de l'artiste où il nous invite à nous plonger par le biais d'images issues de son imagination destinées à celles et ceux qui rêvent éveillés et qui ne veulent pas se réveiller.
D'abord composé de photographies numériques en noir et blanc, son oeuvre évolue grâce à la couleur et par une technique alliant photographie et peinture numérique. Sur fond d'hommage aux grands maîtres de la peinture, l'artiste nous propose le souvenir de son aventure personnelle avec l'art, toujours en suivant un même fil conducteur mêlant le surréalisme, la rêverie et l'enfance.
En proposant des oeuvres sans titre, Patrick Gonzalès confronte son univers à celui du public à qui il accorde, en invoquant sa propre imagination, une place de créateur à part entière.
Galerie Nü Köza
18, rue Charlie Chaplin 21000 Dijon
du mardi au dimanche, de 14h à 19h
PATRICK GONZALÈS
exposition du 6 au 29 mai
D'abord peintre, Patrick Gonzalès se met à la photographie en 1998, technique par laquelle il explore deux thèmes principaux, le rêve et l'enfance, au sein d'un univers teinté de surréalisme.
L'onirisme est le point de départ du travail de l'artiste où il nous invite à nous plonger par le biais d'images issues de son imagination destinées à celles et ceux qui rêvent éveillés et qui ne veulent pas se réveiller.
D'abord composé de photographies numériques en noir et blanc, son oeuvre évolue grâce à la couleur et par une technique alliant photographie et peinture numérique. Sur fond d'hommage aux grands maîtres de la peinture, l'artiste nous propose le souvenir de son aventure personnelle avec l'art, toujours en suivant un même fil conducteur mêlant le surréalisme, la rêverie et l'enfance.
En proposant des oeuvres sans titre, Patrick Gonzalès confronte son univers à celui du public à qui il accorde, en invoquant sa propre imagination, une place de créateur à part entière.
Galerie Nü Köza
18, rue Charlie Chaplin 21000 Dijon
du mardi au dimanche, de 14h à 19h
"La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe." J. Prévert
peintures du Flo Aux Arts! etc.
Re: Nü Köza à Dijon
Je suis de la peinture
par Nicolas Potier (photographie)
vernissage le vendredi 3 juin à 19h
+ Performance Lecture-Sonore, JLB + Okiko
exposition du 3 au 30 juin
café-resto L'embarcadère
58, rue d'Auxonne 21000 Dijon
(à proximité du cinéma L'Éldorado...)
-------------------------------
Tonton Tutut, dresseur de lardons
par Stéphane Paravigna
vernissage le samedi 4 juin à 18h
et en duplex sur Second Life en partenariat avec Pirats Art Network
exposition du 4 juin au 3 juillet
j'ai décidé outre mes écris qui mettent certaines choses de mon passé en exergue que je ne vois qu'aujourd'hui, de continuer ce travail de dessin automatique sur mon propre moi, revisité ou pas, vérité ou pas, rêvée ou vécues ou encore retravaillés par une latence neuronale.
Bref j'existe ! Je dessine ce que je suis ! Enfin !
Toujours reformuler une pensée, même vagabonde, par rapport aux normes d'un langage.
Se perdre sans concession, avec délectation. Ou plutôt trouver le juste milieu entre l'étrange que je veux dégager, donner et le monde pseudo réel. La couleur rouge n'existe pas. Juste un mot qui désigne une couleur que l'un peux voir bleue et l'autre verte. Et un communiquant. Le dessin est là pour les mots que je ne sais dire ni crier : ma langue a moi, mes phonèmes en personnages de dessins animés burlesques.
Libre expression de la ligne, libre expression du corps. Le dessin s'impose à moi comme une évidence.
Il existe une multitude de barrières psychiques indéniables. Alors ne pas chercher a être totalement autre par rapport « à ». Trouver sa limite par rapport à DES instants précis de la vie. La folie a de bien le fait de repousser les limites et donc à nous d'y trouver les nôtres. La société nous englobe mais nous avons tous besoin de ce cadre qui nous sécurise et à la fois nous angoisse. L'homme conscient est un animal malheureux. Pas l'inconscient où s'ouvrent les portes de l'inconcevable et de toutes ses inexactitudes. SAVOIR SE PERDRE !
Juste le temps d'une ligne, d'un égarement dans la psyché, savoir se perdre et être vraiment !
Pirats Art Network est une association française, loi 1901, que nous avons créé en mars 2009 afin d’introduire et développer l’expression artistique dans un champ nouveau de l’espace numérique, les « mondes virtuels » et plus largement pour augmenter les synergies entre les domaines classiques de la promotion artistique et les nouveaux médias.
Pirats Art Network c’est aussi et surtout une idéologie. La volonté de recadrer la position de l’Art dans les spectres philosophique et social. Une autre manière d’aborder la promotion de la création en repositionnant au centre de cette activité ce qui en est le seul objet, l’expression artistique.
Galerie Nü Köza
18, rue Charlie Chaplin 21000 Dijon
du mardi au dimanche, de 14h à 19h
par Nicolas Potier (photographie)
vernissage le vendredi 3 juin à 19h
+ Performance Lecture-Sonore, JLB + Okiko
exposition du 3 au 30 juin
café-resto L'embarcadère
58, rue d'Auxonne 21000 Dijon
(à proximité du cinéma L'Éldorado...)
-------------------------------
Tonton Tutut, dresseur de lardons
par Stéphane Paravigna
vernissage le samedi 4 juin à 18h
et en duplex sur Second Life en partenariat avec Pirats Art Network
exposition du 4 juin au 3 juillet
j'ai décidé outre mes écris qui mettent certaines choses de mon passé en exergue que je ne vois qu'aujourd'hui, de continuer ce travail de dessin automatique sur mon propre moi, revisité ou pas, vérité ou pas, rêvée ou vécues ou encore retravaillés par une latence neuronale.
Bref j'existe ! Je dessine ce que je suis ! Enfin !
Toujours reformuler une pensée, même vagabonde, par rapport aux normes d'un langage.
Se perdre sans concession, avec délectation. Ou plutôt trouver le juste milieu entre l'étrange que je veux dégager, donner et le monde pseudo réel. La couleur rouge n'existe pas. Juste un mot qui désigne une couleur que l'un peux voir bleue et l'autre verte. Et un communiquant. Le dessin est là pour les mots que je ne sais dire ni crier : ma langue a moi, mes phonèmes en personnages de dessins animés burlesques.
Libre expression de la ligne, libre expression du corps. Le dessin s'impose à moi comme une évidence.
Il existe une multitude de barrières psychiques indéniables. Alors ne pas chercher a être totalement autre par rapport « à ». Trouver sa limite par rapport à DES instants précis de la vie. La folie a de bien le fait de repousser les limites et donc à nous d'y trouver les nôtres. La société nous englobe mais nous avons tous besoin de ce cadre qui nous sécurise et à la fois nous angoisse. L'homme conscient est un animal malheureux. Pas l'inconscient où s'ouvrent les portes de l'inconcevable et de toutes ses inexactitudes. SAVOIR SE PERDRE !
Juste le temps d'une ligne, d'un égarement dans la psyché, savoir se perdre et être vraiment !
Pirats Art Network est une association française, loi 1901, que nous avons créé en mars 2009 afin d’introduire et développer l’expression artistique dans un champ nouveau de l’espace numérique, les « mondes virtuels » et plus largement pour augmenter les synergies entre les domaines classiques de la promotion artistique et les nouveaux médias.
Pirats Art Network c’est aussi et surtout une idéologie. La volonté de recadrer la position de l’Art dans les spectres philosophique et social. Une autre manière d’aborder la promotion de la création en repositionnant au centre de cette activité ce qui en est le seul objet, l’expression artistique.
Galerie Nü Köza
18, rue Charlie Chaplin 21000 Dijon
du mardi au dimanche, de 14h à 19h
"La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe." J. Prévert
peintures du Flo Aux Arts! etc.
Re: Nü Köza et NK2 à Dijon
"La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe." J. Prévert
peintures du Flo Aux Arts! etc.