société, société, tu t'laisses aller

tout ce qui touche la politique, l'écologie, les réflexions sur notre monde...

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Re: société, société, tu t'laisses aller

Message par Flo »

très très beau... une interprétation de Jean Genet (Le Condamné à Mort) par les têtes raides

http://www.youtube.com/watch?v=kDqnF4T_C70
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Re: société, société, tu t'laisses aller

Message par Flo »

Bonjour,



Je sais que les sujet pour se fâcher sont multiples, complexes et que trop c'est beaucoup trop... mais s'il vous reste encore une goutte ou deux à ajouter avant que le bol ne déborde, vous pourrez toujours écouter:

Reproduction artificielle et marchandisation du vivant - Information - France Culture...
http://www.franceculture.fr/emission-te ... 2014-09-27

Un bel avenir, le mot Liberté sera bien vite passé en langue morte, intraduisible.

Bien à vous,

emmanuèle
(envoi groupé)


emmanuèle Duclot-Haillot
Chalon-sur-Saône
T./0385934811
m.haillot@free.fr
http://atelier-edh.jimdo.com
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mister jack
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Re: société, société, tu t'laisses aller

Message par mister jack »

BARRAGE SIVENS - Hommage à Rémi Fraisse
C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

(Arthur Rimbaud, Le Dormeur du val, octobre 1870)


Sivens : Des armes et des larmes...

Il n'y a pas de mots pour exprimer la douleur d'une famille meurtrie par la mort d'un enfant. De violences en souffrances, le décès d'un manifestant doit déboucher sur le silence de tous. Recueillement qui doit précéder une véritable réflexion sur les déterminants qui ont conduit à ce drame.

L'usage d'une grenade offensive ayant entrainé la mort d'un jeune homme de 21 ans n'est pas une bavure mais le fruit d'une tension auto-entretenue visant à dissuader celles et ceux qui s'opposent à l'un de ces trop nombreux grands projets inutiles et imposés. Depuis plusieurs semaines, la violence policière fait écho à une mobilisation citoyenne de plus en plus déterminée et radicale. Chacun pouvait mesurer les risques engendrés par une telle situation mais personne n'a pu, voulu ou osé rechercher une solution amiable. Pour certains élus locaux, les délices de la confrontation, la volonté d'en découdre et de ne pas « perdre la face » ont ainsi été privilégiés.

Cette cristallisation est le symptôme d'une démocratie malade. Ce drame révèle une chose : en cas de conflit, il n'existe pas de cadre démocratique permettant une expression apaisée des oppositions.

Dépositaires d'une légitimité élective de moins en mois représentative, les élus se sont enfermés dans le respect scrupuleux d'outils (enquête publique, déclaration publique, débat public...) qui ne répondent plus aux nécessités du moment.

Par facilité, élus locaux et adeptes d'une gouvernance instrumentale se plient aux contraintes d'une démocratie factice. Au terme de ce jeu de dupes, ces projets contestés sont imposés et conduisent à ces boutons de fièvre démocratique. Faute d'être entendue, la contestation force la voix.

La Commission Nationale du Débat Public doit jouer un rôle de médiateur. Petits et grands projets doivent pouvoir faire l'objet d'un échange démocratique où le jeu de postures laisserait place au débat. Reste que de trop nombreux exemples ont entamé la confiance que l'on pouvait avoir en ces outils éminemment démocratiques. Le recours à cette commission ne peut tenir lieu de passage obligé. Le débat doit être le théâtre d'une confrontation respectueuse, d'une écoute réciproque et d'un respect mutuel. L'honnêteté doit présider à l'organisation de ces débats; au risque de conduire à ces violences qui ne sont que la conséquence d'une malfaçon démocratique.

A Sivens, comme à Notre-Dame des Landes, à Drucat, à Nonant le Pin et dans des dizaines d'autres lieux en France, une alerte citoyenne doit pouvoir suspendre un projet afin que de nouvelles expertises puissent être menées. Face à la brutalité de certaines décisions prises par des élus trop sûrs d'eux-même, il y a lieu de restaurer la confiance en nos institutions et réintroduire de la rationalité et de l'objectivité dans la décision publique.

Dans le Tarn, le recours à deux experts indépendants missionnés pour évaluer le bien-fondé du projet de barrage a conduit les élus locaux à accélérer la destruction de la zone humide. Ce passage en force est révélateur d'une volonté de fonder la décision politique sur une base contestable et contestée. Au lieu de tenter d'objectiver la controverse, le président du Conseil général du Tarn a voulu ériger le caprice d'enfants gâtés de la démocratie en mode de gouvernance.

Or, ce jusqu'au boutisme conduit la mobilisation citoyenne à se radicaliser, justifiant en retour l'usage d'une force, qui, pour être « légale », n'en reste pas moins meurtrière et illégitime.

Au regard des très nombreux projets d'aménagement contestés, il y a urgence à redéfinir le cadre démocratique et sortir par le haut de conflits, qui sans médiation, conduisent à la violence et aux larmes.

Stéphen KERCKHOVE, délégué général d'Agir pour l'Environnement.
contact@agirpourlenvironnement.org

--
http://www.agirpourlenvironnement.org
http://www.facebook.com/association.agi ... ironnement
http://www.twitter.com/APEnvironnement
Dernière modification par mister jack le 08 nov. 2014 10:05, modifié 1 fois.
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mister jack
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Message par mister jack »

Le conseiller général, l'arbre et le débat démocratique
Ça date un peu, c'est le journal filmé des événements au Testet (24mn) début septembre : début de la déforestation, passage en force du Conseil Général du Tarn et de l'armée et montée très rapide et exponentielle des violences policières à l'encontre de tous les opposants au projet.

Un film collectif réalisé par les Camill-E-s, résistants du Tarn et d'ailleurs


http://vimeo.com/108680951
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mister jack
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Message par mister jack »

Soirée débat-échanges

Transposition de la directive européenne « marchés publics », en droit national : un nouveau danger pour beaucoup d'associations !

Mardi 10 février de 18h à 20h30
AGECA : 177 rue de Charonne - 75011 Paris
métro Alexandre Dumas


Le gouvernement a élaboré un projet d'ordonnance pour transposer les directives européennes sur les marchés publics en droit national. Mais, une fois de plus, il va plus loin que le texte européen, en assimilant toutes les associations qui reçoivent plus de 50 % de financements publics à des « acheteurs publics »**.

Si ces dispositions étaient acceptées, beaucoup d'associations seraient donc tenues à passer elles-mêmes des marchés publics pour leurs achats. Vive la simplification administrative !

La plupart des associations basculeraient ainsi dans le champ concurrentiel au moment où le gouvernement affirme sa volonté de contenir les appels d'offres et de favoriser la subvention, et entend les mobiliser au service de la citoyenneté.


Pour décrypter cette transposition et envisager la riposte, le Collectif des associations citoyennes vous invite à participer à cette soirée !

Merci de vous inscrire sur ce lien https://docs.google.com/forms/d/1oJqxYB ... rm?c=0&w=1 pour : venir, demander le compte rendu même si vous ne pouvez venir, vous tenir informer ou même demander qu'une autre soirée débat se déroule plus près de chez vous...

Ø Lire un extrait de cette transposition http://www.associations-citoyennes.net/ ... xlpMfI&v=7

** D'autres dispositions du projet d'ordonnance posent question et méritent un débat, notamment pour ce qui concerne les équipements sportifs et leur utilisation, l'ouverture à des critères sociaux et environnementaux, etc.


Collectif des Associations Citoyennes
108 rue Saint-Maur 75011 Paris
www.associations-citoyennes.net et facebook.com/collectif.associations.citoyennes
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Franck
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Voilà voilà...

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Message par Flo »

Laissons les fossiles dans le sol. Pour en finir avec les crimes climatiques
26 août 2015 | Par Les invités de Mediapart

Dans un appel, cent personnalités appellent à une insurrection climatique, dans l'esprit des mouvements sociaux qui ont mis fin aux crimes de l’esclavage, du totalitarisme, du colonialisme ou de l’apartheid. Il faut laisser les énergies fossiles dans le sol, ne plus les extraire et cessez de les subventionner afin de pouvoir continuer à vivre, « agir, penser, aimer, prendre soin, créer, produire, contempler et lutter ».

Nous sommes à la croisée des chemins. Nous ne voulons pas nous retrouver contraint.e.s à survivre dans un monde devenu à peine vivable. Des îles du Pacifique Sud à la Louisiane, des Maldives au Sahel, du Groenland aux Alpes, la vie quotidienne de millions d’entre nous est déjà perturbée par les conséquences du changement climatique. Par l'acidification des océans, par la submersion des îles du Pacifique Sud, par le déracinement de réfugiés climatiques en Afrique et dans le sous-continent indien, par la recrudescence des tempêtes et ouragans, l’écocide en cours violente l’ensemble des êtres vivants, des écosystèmes et des sociétés, menaçant les droits des générations futures. Ces violences climatiques nous frappent inégalement : les communautés paysannes et indigènes, les pauvres du Sud comme du Nord sont les plus affectés par les conséquences du dérèglement climatique.

Nous ne nous faisons pas d’illusions. Depuis plus de vingt ans, les gouvernements négocient mais les émissions de gaz à effet de serre n’ont pas baissé et le climat poursuit sa dérive. Alors que les constats de la communauté scientifique se font plus alarmants, les forces de blocage et de paralysie l’emportent.

Ce n’est pas une surprise. Des décennies de libéralisation commerciale et financière ont affaibli la capacité des Etats à faire face à la crise climatique. Partout, des forces puissantes – entreprises du secteur fossile, multinationales de l’agro-business, institutions financières, économistes dogmatiques, climatosceptiques et climatonégationnistes, décideurs politiques prisonniers de ces lobbies – font barrage et promeuvent de fausses solutions. 90 entreprises sont à l’origine des deux tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre. De véritables réponses au changement climatique nuiraient à leurs intérêts et à leur pouvoir, remettraient en cause l’idéologie du libre-échange, et menaceraient les structures et les subventions qui les soutiennent.

Nous savons que les multinationales et les gouvernements n’abandonneront pas aisément les profits qu’ils tirent de l’extraction des réserves de charbon, de gaz et de pétrole ou de l’agriculture industrielle globalisée gourmande en énergie fossile. Pour continuer à agir, penser, aimer, prendre soin, créer, produire, contempler, lutter, nous devons donc les y contraindre. Pour nous épanouir en tant que sociétés, individus et citoyen.ne.s nous devons tout.e.s agir pour tout changer. Notre humanité commune et la Terre le demandent.

Nous gardons confiance en notre capacité à stopper les crimes climatiques. Par le passé, des femmes et des hommes déterminé.e.s ont mis fin aux crimes de l’esclavage, du totalitarisme, du colonialisme ou de l’apartheid. Elles et ils ont fait le choix de combattre pour la justice et l’égalité et savaient que personne ne se battrait à leur place. Le changement climatique est un enjeu comparable et nous préparons une insurrection similaire.

Nous travaillons à tout changer. Nous pouvons ouvrir les chemins vers un futur vivable. Notre pouvoir d’agir est souvent plus important que nous ne l’imaginons. A travers le monde, nous luttons contre les véritables moteurs de la crise climatique, défendons les territoires, réduisons les émissions, organisons la résilience, développons l’autonomie alimentaire par l’agro-écologie paysanne, etc.

A l’approche de la conférence de l’ONU sur le climat à Paris-Le Bourget, nous affirmons notre détermination à laisser les énergies fossiles dans le sol. C’est la seule issue.

Concrètement, les gouvernements doivent mettre un terme aux subventions qu’ils versent à l’industrie fossile, et geler leur extraction en renonçant à exploiter 80% de toutes les réserves de carburant fossile.

Nous savons que cela implique un changement historique majeur. Nous n’attendrons pas que les Etats agissent. L’esclavage et l’apartheid n’ont pas disparu parce que des Etats ont décidé de les abolir, mais par des mobilisations massives qui ne leur ont pas laissé le choix.

L’issue est incertaine. Nous avons toutefois une occasion unique de renouveler la démocratie, de démanteler le pouvoir hégémonique des multinationales et de transformer radicalement nos modes de production et de consommation. Tourner la page des fossiles est une étape décisive vers la société juste et soutenable dont nous avons besoin.

Nous ne gâcherons pas cette chance, à Paris comme ailleurs, aujourd’hui comme demain.

Cent premièr.e.s signataires :
Desmond Tutu, archevêque émérite; Bill McKibben, fondateur de 350.org; Naomi Klein, journaliste et essayiste; Vandana Shiva, physicienne et écologiste; Agnès Sinaï, Institut Momentum; Alberto Acosta, économiste; Alex Randall, Climate Outreach; Amy Dahan, historienne des Sciences; Bernard Guri, Centre for Indigenous Knowledge & Organisational Development; Boaventura de Sousa Santos, sociologue; Catherine Larrère, philosophe; Christophe Bonneuil, historien; Cindy Wiesner, Coordinator of Grassroots, Global Justice Alliance, USA; Claire Nouvian, Bloom; Claude Lorius, glaciologue; Clive Hamilton, philosophe; David Graeber, anthropologue; Dominique Bourg, philosophe; Dominique Méda, sociologue; Edgardo Lander, sociologue; Eduardo Viveiros de Castro, anthropologue; Emilie Hache, philosophe; Erri de Luca, écrivain; Esperanza Martinez, ancienne ministre de la Santé publique du Paraguay; Esther Vivas, chercheure et militante altermondialiste; François Gemenne, politiste; Frank Murazumi, Amis de la Terre Ouganda; Gaël Giraud, économiste; Geneviève Azam, économiste; George Monbiot, journaliste; Gerry Arrances, militant anti-charbon; Gilles Boeuf, président du MNHN; Gilles Clément, paysagiste; Godwin Ojo, Amis de la Terre, Nigeria; Gus Massiah, Cedetim; Guy Aurenche, président du CCFD; Isabelle Frémeaux, Laboratoire des Imaginaires Insurrectionnels; Isabelle Stengers, philosophe; Jean-Baptiste Fressoz, historien; Jean-Pierre Dupuy, philosophe; Jean Gadrey, économiste; Jeanne Planche, Attac France; John Holloway, sociologue et philosophe; Joan Martinez Alier, économiste; John Jordan, Laboratoire des Imaginaires Insurrectionnels; Jon Palais, Bizi !; Kaddour Hadadi, musicien et chanteur, HK et les Saltimbanks; Kevin Smith, Liberate Tate; Kumi Naidoo, Greenpeace International; Larry Lohmann, The Corner House; Lech Kowalski, réalisateur; Leonardo Boff, théologien; Lidy Nacpil, Jubilee South; Mamadou Goïta, Institut de recherche et de promotion des alternatives au développement, Mali; Marc Dufumier, agronome; Marc Luyckx Ghisi, écrivain; Marie-Monique Robin, journaliste; Maude Barlow, Food & Water Watch; Maxime Combes, économiste, membre d'Attac; Michael Hardt, philosophe; Michael Löwy, sociologue; Mike Davis, historien et sociologue; Noam Chosmky, linguiste et philosophe; Nick Hildyard, The Corner House; Nicolas Haeringer, 350.org; Nnimmo Bassey, Oil Watch International; Noble Wadzah, Oil Watch Afrique; Olivier Bétourné, éditeur; Olivier de Schutter, juriste; Pablo Servigne, collapsologue; Pablo Solon, ancien ambassadeur de la Bolivie; Pat Mooney, ETC Group; Patrick Chamoiseau, écrivain; Patrick Viveret, philosophe; Paul Lannoye, ancien député européen; Philippe Bihouix, ingénieur; Philippe Desbrosses, Intelligence Verte; Philippe Descola, anthropologue; Pierre Rabhi, agronome et penseur de l’écologie; Pierre-Henri Gouyon, écologue; Priscilla Achakpa, Water Supply and Sanitation Collaborative Council, Nigéria; Razmig Keucheyan, sociologue; Rebecca Foon, musicienne; Roger Cox, avocat; Saskia Sassen, sociologue; Serge Latouche, économiste; Soumya Dutta, Alliance nationale des mouvements anti-nucléaires, Inde; Stefan C. Aykut, politiste; Susan George, économiste; Swoon, artiste; Thomas Coutrot, économiste, porte-parole d’Attac; Tom Kucharz, Ecologistas en Accion, Espagne; Tony Clarke, International Forum on Globalization; Txetx Etcheverry, Alternatiba; Valérie Cabannes, End Ecocide; Valérie Masson-Delmotte, climatologue; Vincent Devictor, écologiste; Vivienne Westwood, styliste; Yeb Saño, ancien ambassadeur des Philippines pour le climat; Yvonne Yanez (Oil Watch)…


> http://350.org/climate-crimes-fr/
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Re: société, société, tu t'laisses aller

Message par Flo »

La sécu fête ses 70 ans. L'UFAL se mobilise pour défendre ce bastion du CNR.

Allez jeter un œil sur la vidéo qu'ils ont concocté à cette occasion

http://www.ufal.org/sante-protection-so ... e-sociale/
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