société, société, tu t'laisses aller

tout ce qui touche la politique, l'écologie, les réflexions sur notre monde...

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Jerome
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Re: société, société, tu t'laisses aller

Message par Jerome »

Bonjour,

une petite vidéo pour faire réfléchir ceux qui s'intéressent à l'éducation.

Version courte sur l'extrait intéressant:
http://www.dailymotion.com/lesconfducoq#video=xydrls


La version longue de la conférence en entière:
http://www.youtube.com/watch?v=kUHTF-WHb4A

Bonne visualisation !

Jérôme

Jerome
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Re: société, société, tu t'laisses aller

Message par Jerome »

Voici un bien jolie texte,

Jérôme
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Halte aux méthodes du néomanagement !

Dans cette époque rude et désenchantée, si la vie quotidienne de beaucoup d’entre nous se révèle de plus en plus sombre, il faut avoir conscience qu’il ne s’agit pas là d’un fait du hasard, d’une fatalité tombée du ciel.
La dureté des temps (souffrance au travail, isolement, fatalisme, dépression) est chaque jour renforcée par l’action de personnages dont la médiocrité et la terne banalité contrastent avec l’intensité du mal qu’ils font. Petits hommes gris à la Simenon, ils représentent la matérialisation finale du cauchemar imaginé par Robert Musil dans l’Homme sans qualités (Seuil, 1979). Ces agents de la tristesse opèrent dans des domaines de plus en plus étendus, mais il en est certains où leurs méfaits sont assez récents et particulièrement choquants : l’éducation et la santé en font partie.
Ils se présentent en général comme des « managers », des gestionnaires d’un nouveau genre et viennent prendre la place des « anciens » dans des établissements scolaires, des hôpitaux, des centres médico-psycho-pédagogiques, des instituts médicaux-éducatif (IME), etc.
Ordinateur et pointeuse en poche, ils ont pour mission d’apurer les comptes et de « remettre au travail » le personnel. Avec eux, plus de « feignants », d’ »assistés », de « privilégiés » (certains ont dû télécharger récemment le portrait de Laurent Wauquiez en fond d’écran…). Ils appliquent le règlement, tout le règlement, rien que le règlement.
Or dans ces endroits singuliers où l’on soigne et où l’on apprend, l’essentiel se passe justement à côté du règlement. Pas contre, mais en dehors. Dans un hôpital, dans un centre psy, la qualité des soins dépend avant tout de la relation avec le patient. Elle passe par l’écoute, le dialogue, le regard, l’attention, et le pari partagé. Une minute peut valoir une heure, une heure une journée, une journée une vie. Aucun logiciel ne peut traiter ce genre de données.
Dans les centres médico-psychopédagogiques, les écoles, collèges et lycées, les objectifs chiffrés, les fichiers, les classements et catégories administratives ne peuvent cadrer avec des parcours d’élèves et patients multiples, complexes et singuliers. Ici, le travail a à voir avec le désir et le lien. Qui peut prétendre quantifier et rationaliser cela ? Nos petits soldats du management se méfient, eux, du vivant, de la complexité, de l’insaisissable. Ils haïssent cela même, car ces notions les empêchent de compter en rond. Ils n’ont qu’un mot à la bouche qu’ils répètent tel un mantra : « la loi, la loi, la loi. »
Et l’on soupçonne, derrière ce formalisme, derrière leur apparente froideur, quelque chose de sombre et malsain. On connaît en psychanalyse et en psychopathologie ce phénomène d’obéissance stricte à la loi qui passe par l’effacement du sujet, définition même de la jouissance. Ces personnages, Lacan les appelait des « jouis-la-loi ».
Ils ne se réfèrent qu’aux représentations réglementaires et légales du vivant ; mais la complexité du vivant, qui est la matière même de ces lieux de soins et d’éducation, n’est pas toute représentable. Par ailleurs, la loi dont ils parlent n’est pas la loi comme champ concflictuel. Ce qu’ils nomment respect de la loi n’est autre qu’une obéissance qu’ils exigent comme une simple compétence, au même titre que savoir lire ou écrire.
Plus d’espace, du même coup, pour la pensée critique et l’autonomie. Dans leur esprit, l’autonomie doit se transformer en pure autodiscipline, ce qui fait d’eux de petits soldats de la mise en place d’un pouvoir arbitraire. Dans leurs tableaux et leurs contrats d’objectif, l’essentiel leur échappe. Au point de susciter des effets « contre-productifs » – pour utiliser leurs termes.
A force de vouloir imposer de la rationalité, en contrôlant les horaires, en voulant rentabiliser chaque minute (chaque euro d’argent public dépensé…), en quadrillant les services, en instituant des rôles de petits chefs et sous-chefs, c’est la contrainte qui devient la règle, épuisant le désir et l’initiative des salariés.
Obligés de travailler dans un univers panoptique où tout est mesurable et transparent, ils perdent le goût de leur métier, s’impliquent logiquement moins, et souffrent au quotidien.
Ces méthodes de management sous la pression sont suffisamment élaborées (en provenance des Etats-Unis pour la plupart) pour savoir jusqu’où ne pas aller trop loin, éviter des dérives qui se retourneraient contre leurs auteurs. Ils savent harceler sans dépasser la limite légale.
Ces auteurs eux-mêmes, petits chefs psychorigides, médiocres et sans aucune envergure spirituelle, sont parfaitement fuyants. Il est impossible d’engager une discussion contradictoire avec eux car ils ignorent tout du funeste dessein qu’ils servent jour après jour. Ils sont les aiguilleurs d’un train dont ils ne maîtrisent ni la puissance ni la destination.
Petits hommes méprisables et benêts qui participent à un processus qui les dépasse. Ce néomanagement pour lequel l’homme devient une ressource impersonnelle et interchangeable prépare les fondements d’une société que l’on voit se dessiner chaque jour de plus en plus clairement, où les critères économiques font la loi, et où la loi écrase la vie.
Les grands changements sociaux, ceux qui vont dans le sens de la tristesse et de la restriction des libertés, ne se passent jamais du jour au lendemain, de façon soudaine, comme on franchit le Rubicon. Ces bouleversements se préparent dans la durée, lentement, discrètement. Et c’est bien de cette façon que la petite armée de ces hommes sans qualités est en train de préparer le terrain d’une société brutale et obscure.
Pour continuer notre travail, dans ces lieux vitaux, il nous faut résister. Mais résister au nom de quoi ? Comme ce pouvoir s’attaque directement à la vie, c’est la vie elle-même qui devient résistance.

Miguel Benasayag

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Flo
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Message par Flo »

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mister jack
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Message par mister jack »

:lol:

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marie odile roger
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Re: société, société, tu t'laisses aller

Message par marie odile roger »

Bonjour,

« Natures artificielles » : cet oxymore nomme la fuite en avant technologique vers l’hybridation du vivant et de la machine. La contradiction entre nature et culture est réputée obsolète – la technologie l’ayant digérée au profit de l’innovation économique ; le “système technicien” (J. Ellul) vampirisant l’écosystème pour alimenter la “croissance” du PIB.

Naturaliser l’artifice technologique et nous acclimater à l’artificialisation de la nature, voilà le sens de cette expo présentée à la gare Saint Sauveur de Lille au printemps 2013. Son propos soit-disant « transgressif » n’étant qu’une pièce du discours officiel, les artistes ne font qu’esthétiser ces « transgressions » technologiques qui nous précipitent dans un « néo-milieu naturel » : le monde-machine.

Certes, à toutes les époques l’art dominant est celui de la classe dominante, à des fins de célébration aussi bien vis-à-vis d’elle-même que des classes dominées. Le pouvoir se montre en beauté et manifeste par là même son génie. Ce que nous dit « Natures artificielles » et des milliers de manifestations semblables chaque année en France et dans le monde, c’est que nous sommes bien à l’ère technologique et dans la technosphère, dont la technocratie est la classe dominante.

Pour lire la suite de cet article de TomJo : http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip ... rticle=428

Merci de faire circuler,
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mister jack
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Re: société, société, tu t'laisses aller

Message par mister jack »

Témoignage d’Alain Cordier, Conseiller régional, membre du bureau du Parc du Morvan 19 septembre 2013

Colère, tristesse, indignation, mais aussi détermination, après l’attaque violente contre la maison du Parc Naturel Régional du Morvan

Une manifestation d’agriculteurs FNSEA du Morvan a pris pour cible hier le Parc Naturel Régional. Une cinquantaine de tracteurs et des remorques chargées de détritus ont permis de saccager par des aspersions de lisier la maison du Parc et ses abords, jardin, parc, étang.

Le prétexte central invoqué par les agriculteurs présents est l’enquête publique relative aux mesures de protection et de restauration de la végétation des rives des cours d’eau. Depuis longtemps, le Parc mène des actions de protection des ruisseaux et des petites rivières, notamment grâce à des fonds européens. Il est prévu de nouveaux contrats avec des agriculteurs volontaires, aidés financièrement, pour diverses mesures de protection de la qualité de l’eau et de la biodiversité : aménagement d’abreuvoirs, clôtures de protection de certaines zones en bordure des cours d’eau par exemple. Les éleveurs présents ont déclaré craindre la généralisation de ces mesures, mais ils ont également évoqué pêle-mêle divers arguments qui ne sont pas directement liés au Parc : verdissement de la politique européenne, incompréhension de leurs difficultés financières, et même le loup a été mis en accusation, pour justifier l’injustifiable, la mise à sac d’un jardin botanique et d’un parc unique et précieux. Des tas énormes de détritus jonchent le parc, des panneaux d’explication botaniques sont souillés, cassés, renversés. Le lisier et les déchets répandus jusque dans l’étang ont pollué sol et eaux. Les allées et pelouses ont été creusées de larges cicatrices,

Je me suis rendu à Saint Brisson ce matin, pour donner un peu de chaleur humaine à mon soutien aux agents du Parc et à leurs missions. Les visages étaient tristes, les récits faisaient état de violences verbales et d’insultes, mais aussi de quelques coups de bâton, de bousculades. On m’a parlé de blessures et de larmes. Ils étaient déterminés à protéger ce lieu de travail qui est aussi le centre de toute une réflexion participative et novatrice sur l’avenir du territoire du Morvan. Le Parc a toujours agi en liaison étroite avec la population, les professions, les associations. Nous y débattons parfois vivement sur certaines questions, dans le comité syndical ou les groupes de travail, mais l’action globale est jugée positive par une écrasante majorité d’acteurs.

C’est cette maison de la coopération et du débat qui a été visée, c’est ce dialogue et cette démocratie qu’on a voulu bousculer, mettre à terre. En début d’après midi, le bureau se réunissait à Champeau en Morvan et le président du Parc, Patrice Joly, confirmait ce climat violent qui a choqué et indigné. Je suis intervenu pour proposer que le bureau unanime exprime sa sympathie à l’équipe du Parc et l’assure de la poursuite déterminée des actions en faveur de l’environnement, de l’agriculture, du territoire. J’ai dénoncé cette manipulation qui consiste à opposer activités agricoles et protection des milieux et des ressources, cette désinformation qui, pour le profit immédiat de quelques uns, permet de faire croire que le salut est dans le refus de tout changement. J’ai enfin demandé que ces dégats ne soient pas impunis, et que les coûts ne soient pas à la charge de la collectivité, avec le risque que le Parc apparaisse comme une structure mal défendue par la loi, comme une cible facile. Le débat, riche, a confirmé ces objectifs, tout en prévoyant des rencontres avec les chambres d’agriculture.

Alors qu’une partie croissante des agriculteurs s’engage dans des pratiques innovantes, conversions bio, productions de qualité, circuits courts, il ne faut pas tomber dans le piège grossier de cette opposition agriculture-environnement. Les écologistes ne fléchiront pas dans leur exigence d’un soutien financier plus appuyé aux pratiques qui améliorent la qualité des produits et qui respectent les sols et les eaux.

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mister jack
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Message par mister jack »

Violences policières contre les mal logés

Violences policières contre les mal logé-e-s à Paris, lors de la journée Européenne pour le droit au logement. Alors que 200 personnes environ, rassemblées dans la cadre de la journée de mobilisation européenne pour le droit au logement et contre la spéculation, se dirigeaient vers le métro pour quitter la place de la République (Paris), les CRS leur ont soudainement coupé la route, vers 14 h 45, sans sommation. Il s'en est suivi une bousculade et des violences policières, qui ont visé principalement des mères de famille.

voir la vidéo: http://www.france.attac.org/videos/viol ... -mal-loges





Jean-Baptiste Eyraud passé à tabac par les CRS: deux côtes cassées, silence radio ?

Ce qui s'est passé samedi après-midi place de la République à Paris est à la fois banal et indigne. Banal parce que la répression contre les mouvements sociaux est devenue une routine quotidienne dans notre pays, sous Manuel Valls comme sous Brice Hortefeux, et en particulier contre les sans logis ou les sans emploi.

Indigne parce que les forces de l'ordre ont dispersé violemment et illégalement un rassemblement déclaré de façon parfaitement légale par le DAL place de la République. Plusieurs mères de famille ont été frappées. Jean-Baptiste Eyraud, le porte parole du DAL, a été roué de coups de pieds alors qu'il s'était assis par terre en attendant de pouvoir sortir de l'encerclement policier auquel les manifestants étaient soumis. Il a eu deux côtes cassées. Pas de dépêche des agences de presse, pas un mot dans la plupart des quotidiens, silence à la radio.

Les CRS et leur hiérarchie présente sur place ce samedi 17 octobre ne pouvaient ignorer qui est Jean-Baptiste Eyraud. Depuis vingt ans il lutte avec le DAL contre l'indifférence et le silence qui entoure le drame des sans logis et des mal logés. Par son activité inlassable et son énergie communicative, il a permis aux sans logis de disposer d'un outil et une voix écoutée et respectée. Il contribue sans trêve à mettre à nu les contradictions entre les discours et les actes des politiciens, prolixes en promesses mais avares en réalisations.

En frappant Jean-Baptiste Eyraud, les forces de l'ordre n'ont pas agi au hasard: cibler une de ces figures les plus connues vise à répandre la peur dans tout le mouvement social. Ce gouvernement est aussi dur avec les démunis qu'il est prévenant envers les grands patrons et banquiers. La Préfecture de Paris et Manuel Valls doivent cesser leurs agissements brutaux et illégaux. Le gouvernement doit appliquer la loi DALO, le droit à l'hébergement, les réquisitions de logement. En s'engageant dans une politique répressive indigne, le gouvernement saccage les principes de solidarité et de justice, seuls à même de faire barrage à la droite extrême.

Attac France,
Paris, le 22 octobre 2013
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Flo
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Message par Flo »

Hollande conclut un “pacte” avec le Medef contre les citoyens et les familles
Par l'UFAL
Mercredi 15 janvier 2014

Le Président de la République François Hollande vient d’annoncer le contenu du pacte de responsabilité qu’il entend mettre en œuvre dans le cadre de sa politique de l’emploi. Il prévoit de supprimer à l’horizon 2017 la cotisation patronale d’allocations familiales, soit l’équivalent de 35 milliards d’euros qui financent actuellement la branche famille de la Sécurité sociale.

De la sorte, François Hollande fait renaître le projet de l’ancien Président Sarkozy qui avait créé la TVA sociale afin de compenser intégralement la baisse des cotisations familiales à travers une ponction injuste sur le revenu de consommation des familles. Le gouvernement Ayrault avait pourtant décidé d’abroger in extremis cette mesure inique lors de son arrivée au pouvoir. Or c’est la même politique anti-sociale dictée par la même idéologie néo-libérale que le gouvernement PS-EELV-PRG décide d’appliquer.

Pour l’UFAL cette décision sans précédent comporte des risques économiques et politiques considérables. Cet allègement de 35 milliards d’euros devra être compensé par un nouveau mouvement d’économies drastiques sur les dépenses sociales qui affecteront les familles déjà fortement fragilisées par la crise. De plus, une nouvelle augmentation des impôts et taxes sur la consommation ou sur les revenus du travail sera inévitable et aggravera durablement la crise actuelle dont les conséquences dramatiques se font sentir chaque jour. Mais surtout, en décidant d’appliquer une politique identique à celle de son prédécesseur de droite, François Hollande contribue à renforcer chez les classes populaires le malaise politique actuel et le sentiment de rejet de la classe politique qui se traduit par l’abstentionnisme et le vote anti-républicain d’extrême droite.

L’UFAL rappelle que la cotisation sociale (salariale ou patronale) est une part socialisée du salaire des travailleurs, prélevée directement sur la richesse créée par le travail. Ainsi, la cotisation patronale d’allocations familiales reconnaît et rémunère l’apport indispensable des familles à l’éducation des enfants et au renouvellement de la main-d’œuvre productive. À l’inverse, la suppression de la cotisation sociale familiale ne fera que renforcer l’emprise de la finance sur l’économie réelle et nourrit la ponction privée sur l’économie réelle. C’est pourquoi l’UFAL s’engage fermement aux côtés des salariés pour que cette part de leur salaire reste prélevée sur la richesse créée dans l’entreprise.

> http://www.ufal.info



et toujours :
Civitas tente de rétablir le délit de blasphème en attaquant les Femen, et c’est toujours avec vos impôts !
pour voir la suite, c'est ici
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peintures du Flo Aux Arts! etc.

Lucanne
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Re: société, société, tu t'laisses aller

Message par Lucanne »

Coucou,

Vous avez entendu parlé du vigneron qui a refusé de traiter ses vignes contre la cicadelle ? Il risque maintenant d'aller en prison. Son procès se tient le 24 février au tribunal correctionnel. Donc si vous souhaitez soutenir ce dangereux criminel voici l'adresse de la pétition :
http://ipsn.eu/petition/viticulteur_texte.php
Bisous

A bientôt

Anne et Luc (et vice-versa)

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Cécile
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Re: société, société, tu t'laisses aller

Message par Cécile »

une petite vidéo à voir avant les européennes.

http://www.youtube.com/embed/jbLFo02jlH8

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